No Le Monde, um artigo nada meigo para os alemães (sim, a rivalidade já é antiga, mas sejamos objetivos) sobre o quadro europeu atual e os sinais vindos de Itália.
Dois excertos:
«Ils sont beaux, jeunes et brillants. Ils sont les nouveaux immigrants en Allemagne. “Die neuen Gastarbeiter“, titre en “une” le Spiegel. Ces “nouveaux travailleurs invités” ne sont plus les paysans turcs d’Anatolie des années 1960, venus faire tourner les usines automobiles de RFA. Ils sont italiens, espagnols, grecs ou d’Europe de l’Est. Diplômés des meilleures universités de leur pays, ils forment “la jeune élite de l’Europe pour l’économie allemande”. Cette semaine, l’hebdomadaire allemand affiche une insolence digne de son confrère britannique The Economist. Il se moque du monde, comme l’Allemagne se fiche de l’Europe.[…]»
«Mais fustiger les Italiens pour leur vote semble aussi dérisoire que le roi de Perse Xerxes qui fit fouetter la mer pour avoir rompu un pont de bateaux sur l’Hellespont. Ils sont le deuxième peuple à se rebiffer après les Grecs et ne seront pas les derniers.»
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Nota: Ontem podia ter documentado o meu post sobre este tema com remissões para este artigo. Mas acontece que só hoje o li.
http://www.librered.net/?p=24871
o barroso reconhece que a crise portuguesa se deve aos assaltantes de bancos, só falta pôr nomes na coisa para denúnciar o padrinho e a malta das metralhadoras.
“comportamentos erráticos do sector financeiro – nalguns casos inaceitáveis e ilegais”
http://economico.sapo.pt/noticias/barroso-portugal-e-o-culpado-da-sua-crise_163719.html
o grande capital está vivo e coisa e tal